La sirène des pompiers

L’histoire de la sirène des pompiers.

La sirène des pompiers commence dans une galerie d’art où un critique s’étonne. Un peintre qu’il considère sans talent, sans imagination a produit une toile magnifique et originale. Une sirène. Pourtant, le critique est persuadé que le peintre en question est incapable de peindre autre chose que ce qu’il voit.

Persuadé qu’il ne peut pas s’être trompé sur les compétences du peintre, il est convaincu qu’il y a une mystification. En se rendant chez lui, il se rend compte qu’il avait bien raison. Le peintre n’est bien capable que de peindre ce qu’il voit, il découvre une sirène à son domicile ! Cette dernière lui raconte sa vie avec sa mère et ses sœurs en Bretagne. Une routine à noyer les marins qu’elle n’apprécie pas. Elle chante faux, elle veut voir le monde et surtout rêve de Paris. Elle veut participer à des soirées mondaines, elle veut faire la fête, elle veut danser ! La sirène se rend à la capitale et devient la muse de ce peintre avec qui elle va vivre Paris !

Ce que j’en pense.

La sirène des pompiers est une bande dessinée très agréable qui casse un peu le mythe de la sirène. Dans la majorité des histoires, on a une beauté fatale et fragile loin de l’eau, la peur des hommes. Ici, notre sirène peut survivre hors de l’eau. Déterminée, assurée, elle sait ce qu’elle veut, ce qu’elle ne veut pas. C’est amusant, original et bien dessiné.

La sirène des Pompiers sur le site de Dargaud.

La couverture de la sirène des pompiers.